ATTENTION POUR PUBLIC AVERTI ! (Sexe, violence, insulte) Livre 1 Livre 2 Livre 3 Livre 4 Livre 5 Livre 6 Livre 7 Livre 8

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Le visage terrifié et tétanisé de Mayu lui revenait sans arrêt en tête.

-         Megumi ?

Megumi recula de quelques millimètres pour pouvoir le regarder dans les yeux.

-           Sois franche, j’ai besoin de savoir… dit-il tout bas, Est-ce que ton regard sur moi a changé ?

Megumi sentit un malaise étrange lui serrer l’estomac tandis qu’elle se tournait totalement vers lui.

-         Avez-vous déjà essayé d’en parler avec votre mère ? S’enquit le psy.

Megumi sentit sa mâchoire tomber par terre tandis que les mots de Miyama résonnaient dans son esprit.

-         Mademoiselle Takahashi, Monsieur Masatoshi. Bonsoir. Les salua Miyama en les retrouvant dans la salle d’attente.

Lundi.

-         Bonsoir tête brûlée, ça a été ?

- Bonjour, les salua-t-elle en pénétrant dans la boutique. La vieille femme et Eisuke étaient manifestement occupés à préparer les articles pour la journée. Elle vit le regard de son ami s’éclairer en la reconnaissant. - Megumi, bonjour, dit-il en reposant une plante, sans la quitter des yeux. Comment vas-tu ? - Très bien, merci ! Prête pour ma première journée, dit-elle avec enthousiasme. - Pile à l’heure, fit la gérante, souriante, en lui tendant un tablier vert, soigneusem

-         Installez-vous, mademoiselle Takahashi, L’invita le docteur Azawa.

Jour 2. Megumi n’avait pas très bien dormi. Elle avait même très peu dormi.

Jour 1. Megumi regretta mille fois plus que la veille d'avoir accepté cet exercice.

-         Bien, c'est fini pour aujourd'hui, annonça Miyama en frappant dans ses mains, arrêtant net l'exercice. Megumi récupéra une de ses mains et essuya honteusement ses larmes, le visage toujours baissé. Finalement, elle n'avait pas du tout réussi à reprendre le contrôle de ses émotions. Elle avait passé quasiment tout l'exercice à pleurer. -         Nous avons bien avancé en une seule séance, n'est-ce pas ? Bravo à tous les deux !  Fit Miyama avec un soupir satisfait en

-         T’es sûr que tu cherches à nous aider, fils de pute ? rugit-il.

-         Bien, reprenons, dit-il en relevant les yeux vers eux, Mademoiselle Takahashi, vous avez évoqué juste avant, une certaine nuit, où il vous aurait… malmené. Vous sentez-vous capable d'en parler ?

-         Très bien. Mais alors dans ce cas, si vous êtes aussi sûr de vous, pourquoi le simple fait de parler de lui semble éveiller en vous tant de nervosité ? Vous la cachez derrière des rires, mais elle est plus que flagrante.